TOULZE Georges, maréchal des logis, pilote

Le maréchal des logis  TOULZE, pilote,  arrive à l'Escadrille N 67, 
le 21 février 1916, en provenance de la RGA.

 Le maréchal des logis Georges TOULZE est né le 17 janvier 1891 à Varen, dans le Tarn et Garonne. Il était mécanicien dans le civil . Il est d'abord affecté 18e Escadron du Train à Oran, le 10 octobre 1912, matricule 657. Il passe à l'Aviation, le 15 décembre 1914, passe par Bron, Dijon, Pau, la RGA puis l'Escadrille N 67. Il passe dans des Escadrilles de protection du Grand Quartier Général, les SPA 92 et 159, le 11 janvier 1918. Il passe caporal, le 1er octobre 1913, sergent, le 28 octobre 1914, adjudant le 10 octobre 1916 ,adjudant-chef en novembre 1917, sous-lieutenant, le 2 juin 1918. On note trace d'une sortie de convalescence à la N 67, le 26 décembre 1917

Il est cité à l'Ordre de l'Aéronautique le 25 juin 1916. et est titulaire de la Croix de Guerre avec deux palmes et une étoile. Médaille Militaire le 11 juillet 1917

Cité à l'Ordre N°87  du 11 mai 1917 :

 "Pilote de tout premier ordre, a manifesté pendant 1 mois de service, dans les secteurs les plus actifs, un zèle inlassable et une sécurité d'humeur, qui n'ont pu attirer , ni les fatigues éprouvées, ni les dangers courus, s'offrant spontanément pour les missions les plus risquées, a montrer dans l'accomplissement des taches les plus périlleuses , au mépris souriant du danger et une abnégation rare digne d'être citée en exemple. A abattu un avion."

Citation du 15 juillet 1917 :

"pilote aussi modeste qu'habile, d'une bravoure remarquable. A livré depuis un an et demi, avec un entrain magnifique les plus durs combats. Le 23 mai 1917, a abattu un avion ennemi. Le 17 juin, a fait face à deux appareils allemands bien que sa mitrailleuse fut enrayée provoquant par son attitude, l'admiration de l'infanterie en ligne. Le 25 juin, a tenu tête à 5 monoplans bien que son monoplan fut gravement atteint par les projectiles ennemis"

ROUSSEAU Edouard, caporal, pilote

Le caporal Edouard ROUSSEAU, arrive de la RGA à l'Escadrille N 67, le 2 février 1916. 
Il est évacué le 20 mars 1916 des suites de ses blessures de guerre. Rayé des comptes le 31 mars

 Le caporal Edouard ROUSSEAU, matricule 903, pilote est né le 13 octobre 1892, à Candé, dans le Maine et Loire. Il entre directement dans l'Aviation, le 12 avril 1912.

Il été cité deux fois à l'Ordre de l'Armée et est titulaire de la Médaille Militaire à la date du  1er avril 1916.

Il appartient d'abord à l'Escadrille N 68, à compter du 9 novembre 1915 puis est évacué vers la RGA , le 19 décembre 1915. Sa fiche le fait arriver à l'Escadrille N 67, le 27 janvier 1916. Le 8 juillet il semble sortir de convalescence et rejoint le Plessis-Belleville

RICHARD Paul, lieutenant, observateur

le lieutenant Paul RICHARD, observateur, arrive à l'Escadrille N67, le 20 janvier 1916, en provenance de la RGA.

Le lieutenant RICHARD est né le 9 aout 1887 à St Georges de Didonne. Il est d'abord incorporé au 3e Régiments de Cuirassiers le 1 octobre 1908. Sa fiche le fait arriver à la N 67, le 17 janvier 1916. Il est détaché quelques fois aux Escadrilles C 18, C 105 et VB 114. Son avion sera abattu le 3 septembre 1916 et il sera fait prisonnier . Il subira 25 mois de captivité malgré huit tentatives d'évasion.

Il est une fois à l'Ordre de la Division, le 24 octobre 1914 puis à l''Ordre de la Brigade, en aout 1915. Titulaire de la Croix de Guerre

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6554816n/f55.image.r=richard%20Paul%20louis.langFR :

NAVARRE, Jean, Adjudant, pilote

Les registres de l’Escadrille N 48, confirme le parcours de Jean Navarre : 
il quitte l'Escadrille N 12, le 1er février 1916 pour l'Escadrille N 48, 
qu'il quitte déjà pour l'Escadrille N67, le 24 février 1916

Les registres de l'Escadrille N 67 confirme la date de son arrivée le 24 février 1916.

Jean Navarre est un des personnages mythiques de l'Escadrille 67. Ses qualités de pilote mais aussi son caractère assez mystérieux, en font un personnage qui a déjà l'objet de nombreux articles, depuis cette première guerre mondiale, jusqu'à aujourd'hui, voire même l’interprétation d'une bande dessinée (voir le Pilote à l'Edelweiss ). Comme d'autre pilote, son coté solitaire au-delà, de la ligne de front, ne permet pas de connaitre le chiffre réel de ses victoires.

Avoir son frère jumeau pilote dans la même escadrille (MS 12), peindre son avion en rouge pour bien qu'on le reconnaisse en vol, faire des acrobaties près du sol, en retour de mission, pour distraire le poilu dont il comprend le sort, "la Sentinelle de Verdun", se détacher de son escadrille pour aller seul sur une piste qui lui semble plus propice, premier doublé de l'histoire, premier quadruplé, premier pilote à atteindre 10 victoires homologuées, tel était Jean Navarre. Son regard, notamment, lorsqu’il est blessé et sur la table du médecin, en dit long . 

On comprend son animosité avec le Cne de Villepin, qui reste rigoureux et discipliné. Navarre verra le départ de celui-ci comme une victoire, de St Sauveur lui laissant plus de latitudes... Il obtiendra 12 victoires homologuées, 15 non homologuées. S'ajoute toutes celles non déclarées au delà du front.

 Jean Navarre est né le 1 aout 1895 à Jouy sur Morin, en Seine et Marne. Il entre directement dans l'Aviation le 28 aout 1914.

Il est cité 6 fois à l'Ordre de l'Armée, Légion d'Honneur le 4 aout 1915, Médaille Militaire le 6 avril 1915 et titulaire de la Croix de Guerre avec Palme.

 Ne se ménageant pas, atteint par la mort de son frère jumeau, il commet de nombreuses incartades dont sa célébrité et ses décorations, le sauvent des sanctions lourdes. Il se tue dans un accident d'avion le 10 juillet 1919.

 http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Photos3/067_Navarre.jpg

http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Photos/012_Les_Freres_Navarre.jpg

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http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Photos3/067_Navarre_10emeVH.jpg

http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Photos3/067_Nieuport_Navarre.jpg

http://www.cieldegloire.com/004_navarre_j_m_d.php

 http://www.opex360.com/2016/03/06/verdun-1916-2016-jean-navarre-la-sentinelle-des-airs/

http://verdun-1916.chez-alice.fr/frameg/sentinelle.html

 http://asaviateurs.pagesperso-orange.fr/Relations.htm

http://www.navarre-jean.com/saguerre.htm

 http://www.navarre-jean.com/anecdotes14-15.htm

http://www.navarre-jean.com/album.htm
 http://347ri.canalblog.com/archives/2011/02/09/20322364.html
 http://www.andrenavarre-industrielpapetier.fr/vie-prive/2-non-categorise/69-les-aviateurs-navarre.html
http://www.casimages.com/img.php?i=16070507451418634314356908.jpg
 http://www.casimages.com/img.php?i=16070507451518634314356909.jpg
http://www.casimages.com/img.php?i=13112811453714768311775053.jpg

 http://www.casimages.com/img.php?i=13121003224314768311807178.jpg :

Navarre et De Villepin

http://www.casimages.com/img.php?i=13121003225614768311807179.jpg : 

premier doublé et De Villepin

http://nsm08.casimages.com/img/2013/12/10//13121003231414768311807181.jpg :

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http://nsm08.casimages.com/img/2014/02/01//14020108173814768311948241.jpg : 

http://www.navarre-jean.com/navarredillon2.jpg :

Une photo légendée : "Navarre survole un Nieuport"

MERLANT Francis, lieutenant, observateur

Le sous-lieutenant MERLANT, observateur, arrive à l'Escadrille N 67, le 20 janvier 1916, en provenance de la RGA.

 Le sous-lieutenant Francis MERLANT, classe 1909, est entré le 1er septembre 1910 au 3e Régiment de Dragons. Il passe à l'Aviation le 8 novembre 1915 comme observateur. Il est passé pilote le 19 novembre 1917. Ainsi, venu de la RGA, il passe à l'Escadrille N 67, puis à l'Escadrille C 46, puis devient élève pilote à Étampes le 4 octobre 1917. Il passe ensuite à Avord, Pau, Cazaux et de nouveau Pau. Il passe à la BR 206 le 21 juin 1918.

MASSOT Henri, caporal, pilote

Le registre fait arriver le caporal Henri MASSOT à l'Escadrille N 67, le 19 février 1916, comme pilote.

 Le caporal MASSOT est né le 17 novembre 1897 à Marseille. Il est entré directement dans l'Aviation, le 6 mars 1915, avec le matricule L 388. Il est cité à l'Ordre de l'Armée et à l'Ordre du Corps d'Armée. Sa fiche le fait arriver à la N 67, le 16 février 1916.

 Il est titulaire de la Croix de Guerre

Massot (Henry-Antoine-Marie), sergent à l'escadrille N. 67 : s'est particulièrement distingué au cours de la bataille de X. par son courage et son entrain. Protège les avions de réglage et de photographie qu'il accompagne avec un dévouement et un sang-froid qui lui valent la reconnaissance et l'admiration de tous. Attaquant sans répit les appareils allemands jusqu'à, ce qu'ils rompent le combat. Le 30 avril 1916 a gravement endommagé un avion de bombardement ennemi et l'a forcé de rentrer dans ses lignes.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65526682/texteBrut

 

Henri Massot a poursuivi dans l'aviation après la guerre :

http://www.crezan.net/pag_vyg/massot.html

MALICE, Henri, lieutenant, pilote

Le lieutenant Henri MALICE, matricule 1877, classe 1908,  
arrive de la RGA à l'Escadrille N 67, le 21 janvier 1916

 Le lieutenant MALICE est né le 30 juillet 1888 à Soissons. Il fut fondé de pouvoir d'une maison d'importation avant de rentrer au service actif le 1er octobre 1910 au 14e Régiment de Hussards. Il passe à l'Aviation le 9 octobre 1915. Sa fiche le fait arriver à l'Escadrille le 17 janvier 1916. Il part le 23 mars 1917 pour l'Escadrille N 79. 

Il est cité à l'Ordre du Régiment le 7 octobre 1914 et à l'Ordre du Service Aéronautique. 

Malheureusement, il est mort pour la France, à l’hôpital 96 d'Avord, le 18 juillet 1918, d'une chute d'avion 

http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Photos2/079_Ltt_Malice_GT.jpg

http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=120794

DERY Louis, adjudant, pilote

Le maréchal des logis, puis adjudant Louis DERY , arrive à l'escadrille N 67 comme pilote, 
en provenance de l’Escadrille N 23, le 20 janvier et y retourne dès le 29 février suivant.

 Le maréchal des logis DERY Louis, est né le 17 janvier 1892 à Lurcy-Levis, dans l'Allier. Il entre dans l'Armée le 27 décembre 1910 au 3e Régiment de Chasseurs à Cheval, matricule LM 96. Il est détaché dans l'Aviation comme observateur à l'Esacdrille REP 29 de la 32e Section d'Aviation, le 8 décembre 1914.  Il est passé par Pau , puis chez Morane-Saulnier et l'Escadrille MS 23, le 28 aout 1915. Le 29 avril 1916, il est en convalescence et part au Plessis-Belleville, puis à la RGA comme pilote convoyeur. Il retourne à Pau le 18 juillet 1916.

 Il est nommé adjudant le 21 janvier 1916 , adjudant-chef le 22 mars 1918 et sous-lieutenant le 6 novembre 1918.

Il est cité deux fois à l'Ordre de l'Armée, les 12 et 19 aout 1914 et est titulaire de la Croix de Guerre.

DERODE Jean, lieutenant, pilote

Le lieutenant DERODE, arrive à l'Escadrille N67, le 21 février 1916

 S'il semble que son prénom usuel soit Jean, d'autre fiche présente le premier prénom : Emile. Dans tous les cas, originaire de Lisieux dans le Calvados, né le 16 septembre 1887 et issu du 6e Dragons

 Arrivé de Pau, il commence à l’instruction au Plessis-Belleville, avant d'arriver à la N67.

 Par la suite, le capitaine DERODE passera à l’Escadrille N102 puis prendra le commandement de la SPA 99. Il est tué à l'ennemi le 4 juin 1918, à 2 kms au nord de Marfaux, dans la Marne

http://www.cieldegloire.com/004_derode_j_m_e.php

De SAINT SAUVEUR, jules, capitaine, pilote

Le capitaine Jules de Saint SAUVEUR, arrive à l’Escadrille N 67, le 22 février 1916. 
C'est lui qui succédera au capitaine de VILLEPIN et sera ainsi, le troisième commandant de l’Escadrille N 67. 
C'est de son écurie de course de chevaux, que viennent les deux couleurs du fanion.

Le capitaine de SAINT SAUVEUR est d'abord passé par Chartres puis l'Escadrille MF 41, avant d'arriver à la N 67.

 http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/escadrille067.htm

 https://www.asoublies1418.fr/index.php/escadrilles/51-75-b/escadrille-n-67-spa-67/167-escadrilles/escadrille-n-67/1120-escadrille-n-67-historique

DE GOYE DE CASTELET, Jacques, sous-lieutenant, observateur

Le sous-lieutenant de GOYE de CASTELET, arrive à l'Escadrille N 67, le 14 mars 1916, 
en provenance de l’Escadrille N 48

Le sous-lieutenant De GOYE De CASTELET est issu du 11e Hussards. Il passe d'abord à l'Escadrille N 48 le 20 décembre 1915. Puis ensuite la N 67, la N 102 et la F 63

Le lieutenant de GOYE de CASTELET, est blessé par chute d'avion, le 2 juillet 1916.

Il est cité à l'Ordre de l'Armée le 24 juillet 1916, alors qu'il appartient à la MF 63 :

COLOMBE Maurice, sergent, pilote

Le malheureux sergent Camille COLOMBE, a fait un passage éclair à l'Escadrille N67, 
puisqu'il y arrive de la RGA le 23 janvier (précédemment il appartenant à la N23) 
et que le 25 suivant, il est porté disparu avec son observateur, le lieutenant MICHEL. 
On trouve trace d'un aviateur Maurice COLOMBE, 
interné dans un des forts d'Ingolstadt et puis à Clarens

Le sergent COLOMBE a appartenu auparavant, aux Escadrilles MF 7 et N 23
 Il avait eu le temps d'être cité à la N23 :

Colombe (Maurice), sergent pilote à l'escadrille M.23 : pilote de premier ordre qui a fait preuve maintes fois d'une bravoure peu commune et d'un profond mépris du danger. Le 15 octobre 1915. Chargé de protéger une reconnaissance, a attaqué successivement deux avions ennemis et a mis le premier en fuite. Blessé d'une balle dans la gorge au cours du second combat et perdant son sang en abondance, a trouvé l'énergie de revenir atterrir dans les lignes françaises distantes de 10 kilomètres.

CASALE Jean, sergent, pilote

Le registre de l’Escadrille N 67, fait arriver le sergent Jean CASALE , le 21 janvier 1916, 
en provenance de l'Escadrille MS 29. C'est étrange car la MS 29, 
ne fait pas partie habituellement de son historique . Mais le 29 février, il retourne l'Escadrille N23.

La fiche de Jean CASALE, le fait passer brièvement,  dans plusieurs Escadrilles avant la N 67 : 
la MF 54, la MF 19, la MF 8 et la N23, qu'il retrouvera après son passage à la N 67.
Jean CASALE finira la guerre avec 13 victoires et se tuera dans un crash en 1923.

 http://www.cieldegloire.com/004_casale_jphpj.php

 http://www.aerosteles.net/stelefr-buc-casale

BOISSEAU, sous-lieutenant, pilote

Ce sous-lieutenant BOISSEAU, fait un bref passage à l’Escadrille N67, puisqu'il arrive du Parc n°11, 
le 2mars 1916 et y retourne dès le 8 mars suivant

J'ai trouvé un sous-lieutenant Alfred BOISSEAU, pilote, qui appartenait au Parc n°11, 

le 27 septembre 1915. Il doit s'agir de celui-ci.
Un autre sous-lieutenant BOISSEAU , mais Camille, pilote également existe.

 Mais lui semble être au Plessis-Belleville avant le 21 avril 1916 et sera affecté à l'Escadrille MF 70

HUDELLET Lucien, sous-lieutenant, pilote

Faute d'orthographe dans le registre puisqu'il s'agit du sous-lieutenant HUDELLET, 
qui arrive à l'Escadrille N67, le 29 février 1916.

Une fiche le fait appartenir à l'escadrille MS 31, avant sa transformtion en pilote .
Une autre fiche le fait arriver à l'Escadrille dès le 7 février 1916, en provenance du Plessis-Belleville! Il passera à l'Escadrille N38 y chercher des avions puis y sera muté le 18 mars 1917. Il semble qu'il passe à la N 80, le 20 juin 1917


Il semble bien qu'il ait été cité :
"Hudellet (Lucien-Joseph-Armand), sous-lieutenant de l'escadrille N. 67 : pilote incomparable d'entrain et d'audace a effectué un très grand nombre de reconnaissances tant en biplace qu'en monoplace, rapportant des renseignements précieux. Le 20 avril 1916 a eu son hélice sérieusement endommagée par un éclat d'obus : le 21 avril, au cours d'un combat contre trois appareils ennemis, a, été blessé d'une balle à la main. Continue à piloter"

PERETTI Jean, sous-lieutenant, pilote

Il s'agit en fait du sous-lieutenant PERETTI, détaché de la N3 à l’Escadrille N67, du 27 février au 21 mars 1916.

Le sous-lieutenant PERETTI Jean, est issu des Chasseurs à cheval. 

Il a d'abord appartenu à la MS 37 à partir du 15 février 1915, puis la MS 31 le 3 juin suivant et la N3, le 29 mars 1916.

MICHEL Joseph, sous-lieutenant, observateur

Le sous-lieutenant MICHEL Joseph, observateur, apparait bien furtivement dans les registres ! 
On apprend qu'il est parti en reconnaissance le 24 janvier 1916 et considéré comme non rentré le lendemain. 
Il est rayé des comptes le 25 janvier 1916. Il semble qu'il ait été fait prisonnier.

Le sous-lieutenant MICHEL est issu du 140e RI. Il a été cité à l'Ordre de la Brigade et est titulaire de la Croix de Guerre. Il est affecté à la Région Fortifiée de Verdun, le 2 novembre 1915.

WIBAULT

Pour l'instant, le dénommé Wibault est un mystère ! Il apparait sur le registre parmi les officiers, 
comme observateur. La mention "Med M" fait penser à Médecin Militaire. 
Il arrive d'une autre Escadrille du Parc n°11 le 2 mars et y retourne le 21 mars 1916 suivant.

1916

Depuis le 1er Novembre 1915, l’Escadrille N67 est passé au Parc n°11 et est affectée au 1er Groupe d'Aviation. Le 23 février 1916, elle quitte Verdun et cantonne à Ancemont. Le lendemain, elle retourne à Verdun. Le 25 au matin, elle quitte de nouveau Verdun pour Vandelaincourt ou elle est rattachée à la 2e Armée. Elle quittera Vandelaincourt le 20 Mars, pour le terrain de Brocourt.

 

Les membres d'équipages et leurs personnels rattachés :

Le capitaine de Villepin, quitte l'Escadrille pour Avord, le 24 février 1916. 

les 2e classe BERO et LEDOUX, doivent le suivre.

Le capitaine de SAINT SAUVEUR prend le commandement de l'Escadrille N67

Le sous-lieutenant VENSON, quitte l’Escadrille le 24 février 1916, pour le Plessis-Belleville

sans doute suivi du soldat FAUCOIN et du 2e classe VERSAPUECH

le sous-lieutenant FERRU reste à l'Escadrille.

le sous-lieutenant BOISSEAU, pilote,  arrive à l'Escadrille N67, du 2 au 8 mars et s'en retourne au Parc n°11

le sous-lieutenant DURAND, observateur,  reste à l’Escadrille N67. 

Un certain WIBAULT, observateur, peut être médecin militaire, fait un passage du 2 au 21 mars 1916 

Le sous-lieutenant MICHEL Joseph, observateur, porté disparu le 25 janvier 1916 

le sous-lieutenant PERETTI jean, détaché de la N3 du 27 février au 21 mars 1916 

le sous-lieutenant LEPS, pilote, reste à l'Escadrille 

le sous-lieutenant HUDELLET Lucien, arrive à l'Escadrille, le 29 février 1916

Un Nieuport XII, sans doute en janvier 1916, avec certainement le premier insigne, l'aigle sur le fanion

Cette photo est légendée : Bébé Nieuport, dont l'exemplaire est en mauvaise posture, donc à partir de janvier 1916. Cela aurait été intéressant de mettre des noms sur ces visages !

VERWICHT Henri, 2e classe, mitrailleur

Alors que les registres de l'Escadrille N67, de septembre et octobre 1915, 
font bien apparaitre un VERWICHT Louis , matricule 31, pilote, ces mêmes registres font bien apparaitre 
un VERWICHT Henri, matricule 1621, qui officie comme mitrailleur !

VIESSE Julien, 2e classe, ordonnance

Le 2e classe Julien VIESSE apparait tout d'abord comme personnels divers.

Puis on découvre qu'il est l'ordonnance du sous-lieutenant DURAND, observateur, qui est passé à l’Escadrille N67. Comme son officier, il est issu du 10e Hussards.

La fiche le fait arriver à l'Escadrille le 2 novembre 1915, en arrivant dans la Région Fortifiée de Verdun.

VERSAPUECH Louis, 2e classe, 1er mécanicien

D'après le registre, le 2e classe VERSAPUECH Louis, arrive comme 1er mécanicien de l’Escadrille N3, avec son pilote

Ils arrivent à la N67, le 14 octobre 1915.

Il est entré dans l'Aviation, dès le 10 novembre 1913. Il semble avoir été pendant un temps, le mécanicien du Maréchal des Logis Hudelet.

Mais il apparait aussi comme mécanicien de l'adjudant VENSON, à l'Escadrille BL5, puis N3. 

Par la suite, VENSON est bien venu à l'Escadrille N67. La fiche le fait partir fin 1916, pour la N38.

VERGNIEAULT Octave, sergent, conducteur

Le sergent Octave VERGNIEAULT est arrivé à l'Escadrille N67, le 23 septembre 1915, comme conducteur.

TRECCHI Armand, 2e classe, infirmier

Le 2e classe Armand TRECCHI officie à l’Escadrille N67, comme infirmier.

TISSU Claude, 2e classe, divers

Le 2e classe Claude TISSU, qualifié en personnels divers. Il aurait déjà 43 ans au début du conflit.

THOMAS Auguste, 2e classe, conducteur

Le 2e classe Auguste THOMAS fait une bref passage à l'Escadrille N67 comme conducteur. 
Il apparait comme venu au 2e Groupe d'Aviation avec l’Escadrille et en part le 5 octobre 1915

RUFFIN Alfred, 2e classe, ordonnance

Le 2e classe Alfred RUFFIN, matricule 1925, arrive de la RGA, le 24 septembre 1915. 
Il suit sont officier, le 16 octobre suivant .

Le 2e classe RUFFIN est issu du 22e Dragons et était l'ordonnance Maréchal des Logis  Des Brunes, ce qui est étrange, pour un non-officier !

ROUX Auguste, 2e classe, conducteur

Le 2e classe Auguste ROUX, matricule 407, classe 1914, arrive à l'Escadrille N67, 
en provenance de la RGA, le 17 octobre 1915. Il est conducteur

ROLLOT Aimé, 2e classe, 1er mécanicien

1Le 2e classe Aimé ROLLOT, matricule 4960, classe 1907, arrive de la RGA avec son pilote, le 29 octobre 915.

D'abord mécanicien sur Morane Saulnier, il est le 1er mécanicien du sous-lieutenant FERRU