GUY Jules, 2e classe

Pour l'instant, peu de données pour le dénommé Jules GUY, 
2e classe en 1915, si ce n'est qu’il est de la classe 1892.

Il est arrivé à l'escadrille le 24 septembre  et est réaffecté au Parc le 5 octobre suivant

GUICHARDAN Jean-Marie, 2e classe

Le 2e classe Jean Guichardan, classe 1893, est considéré comme personnel "divers". 
Dans le registre, il porte le n° de matricule 490.

On trouve bien un registre matricule d'un Guichardan Jean-Marie, né le 12 octobre 1873 à Foissiat, dans l'Ain, incorporé au 44e RI le 15 novembre 1894. Il est rappelé à la mobilisation générale sous le matricule 490 au 55e Régiment Territorial d'Infanterie. On note ensuite : "passé au 2e Groupe d'Aviation le 29 aout 1915. Puis au 3e Groupe d'Aviation Escadrille N67, le 21 aout 1916 puis de nouveau au 2e Groupe d’Aviation, le 1er Janvier 1917.

GARNIER Jean, 2e classe, conducteur

Le 2e classe Jean GARNIER, est un des nombreux conducteur de l’Escadrille N67

Il a d'abord appartenu au 30e RI d'Annecy. A la mobilisation , il est rappelé au 6e Régiment d'Infanterie Coloniale. Il passe au 2e Groupe d’Aviation le 30 juin 1915. Il passe au 3e Groupe d'Aviation le 21 aout 1916 et revient au 2e, le 13 octobre suivant.

JAYOL Jacques, 2e classe, tailleur

Le 2e classe Jayol Jacques, matricule 1746,  arrive à l'Escadrille N67 à sa création, comme tailleur.

Il arrive du 158e RI. Il passe à l'Aviation, le 22 juin 1915.

LANCTIN Léon, maitre ouvrier

Le Maitre-ouvrier Léon Lanctin, n'a pas laissé beaucoup de traces de son passage, pour l'instant !

LE GUINIO Auguste, 2e classe, 2e mécanicien

Le 2e classe Le Guinio Auguste est affecté à l’Escadrille N67, dès sa formation, 
comme 2e mécanicien, le 24 septembre 1915.

Il meurt, des suites de ses blessures, le 11 mai 1917, à Fismes, 
alors qu’il appartient à l'Escadrille F8 comme mitrailleur, 
à l’époque stationnée sur le terrain de la Cense

LEPS Jacques, sous-lieutenant, pilote

Le sous-lieutenant LEPS , né le 27 septembre 1893 à Angers, est arrivé dans l'Aviation 

en provenance du 1er Hussard. Il est cité à l'Ordre de l'Armée et décoré de la Croix de Guerre. 

La fiche le fait d'abord apparaitre comme observateur puis comme pilote de Spad. 

Le sous-lieutenant LEPS arrive du 1er Hussard le 6 octobre 1915 et arrive à la N67, 

le 2 novembre suivant. En 1917, il appartient à l'Escadrille N81.

Effectivement, sur sa fiche matricule, il apparait comme élève pilote. Il est blessé alors qu’il appartient à la SPA 81 et maintenu temporairement en non activité pour état neurasthénique avec troubles avec déséquilibre émotif suite à blessure de guerre. Cela ne l’empêchera pas d'être rappelé le 1er septembre 1939. Il fut nommé Commandeur de la Légion d'Honneur.

"Pilote modèle d'énergie et de bravoure. Le 6 avril 1918, a abattu en flamme un avion allemand et le 15 mai , a incendié un Drachen. Chevalier de la Légion d'Honneur pour faits de guerre. Cinq citations. A la tête d'une Escadrille merveilleusement entrainée par un exemple continu, a remporté de nombreuses victoires. A abattu le 22 mai 1918, un biplan allemand et le lendemain, incendié un Drachen. Deux blessures, le 9 juillet 1915, à Beauséjour, poumon perforé, le 30 avril 1917, au Menil Cornillet, une balle au menton. Sept cicatrices...."